« De l’humanisme à la spiritualité », écrit par M. Krishnanand Gupta, a été lancé, vendredi 15 octobre, par le ministre des Arts et du Patrimoine culturel, M. Avinash Teeluck en présence de Lady Sarojini Jugnauth. Lors son allocution, le ministre Teeluck a félicité l’auteur pour son accomplissement littéraire, avec la publication de son deuxième recueil. Il a souligné l’accomplissement de M. Krishnanand Guptar dans sa vie professionnelle et dans le domaine artistique. Le ministre a également salué la contribution et le service de M. Guptar au gouvernement alors qu’il occupait différentes fonctions d’officier public, notamment en tant que secrétaire financier.
Le ministre Teeluck a souligné que l’auteur sert à nouveau le pays aujourd’hui, en particulier les enfants ainsi que les générations à venir, en laissant derrière lui son héritage artistique. À travers ses écrits et en partageant son expérience, M. Guptar partage avec nous les principes directeurs de la spiritualité, a-t-il déclaré.
Quant à M. Krishnanand Guptar, il s’est attardé sur les événements qui l’ont inspiré à écrire les poèmes, à savoir son illumination suite à deux opérations chirurgicales en 2005. Les poèmes, a-t-il dit, sont tous inspirés d’expériences vécues et véhiculent des messages sur divers aspects de la vie.
Cépendant, la transition de Krishnanand à la spiritualité n`a pas réduit son amour et sa préoccupation pour l`humanisme, comme exprimé dans les poèmes “Compassion”. Pour résumer, le poète a souligné que chacun des poèmes transmet un message spécifique, unique. Cependant le fil conducteur du recueil, est le besoin de se connaitre, se comprendre, avant d` essayer de comprendre les autres.
L`homme n`est pas un amas de glaise, des os, ou une grappe de passions et d`émotions. Il est doué d`un moi intérieur, d`une âme qui est singulière et unique, tout comme chaque étoile qui brille dans le ciel nocturne est unique. Chacun de nous constitue une ile, un monde en soi-même. La grandeur d`un homme ne se mesure pas à travers son compte bancaire, ses biens matériels, son poste, sa position sociale, ou par l`autorité qu`il exerce au sein de la société mais par la grandeur de son âme. Et la grandeur de l`âme ne se cultive pas par des gains matériels, mais à travers l`humanisme, qui comprend la compassion. souligne l’auteur.
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